"Crispée" est le mot, et ce n'est pas sûr que du yoga ou des massages ou de la méditation m'aideraient à me décrisper, il y aurait du boulot. Depuis un mois que j'étais partie en vacances, j'avais adopté un nouveau rythme plus tranquille, serein, dans des lieux calmes, beaux et agréables. Depuis deux jours, je suis rentrée à Paris et je dois dire que le retour est une véritable claque au visage. D'ailleurs, tout mon corps souffre et me fait sentir à quel point Paris est aimable seulement quand on en est loin.
C'est simple, depuis deux jours, mon cou et mes épaules sont crispés, coincés, en révolte. Tous les bienfaits des vacances se sont envolés. J'ai mal partout, beaucoup trop chaud, mes jambes me tiraillent horriblement et se plaignent lorsqu'il faut marcher des heures ou monter les 6 étages qui distancient la rue de mon lit. J'ai des yeux tellement agressés par la pollution de l'air qu'ils ne supportent même plus les lentilles. Les gens ne sont pas aimables parce qu'ils aimeraient passer leur mois d'août ailleurs, certains sont même franchement odieux. Une lourdeur plane partout, et j'ai bien envie de fuir au plus vite cette ville inamicale. On s'y sent apathique et misérable. Quelle plaie !
Mon corps en révolte m'inquiète car il ne suit pas : depuis deux jours, en effet, je fais beaucoup de courses pour mon voyage, je préfère faire ça de façon condensée plutôt qu'étalé sur des semaines, mais je m'en mord les doigts. La migraine ne me lâche plus et les risques de mauvaise humeur s'abattent bien plus généreusement qu'à l'ordinaire. Il faut absolument que je retrouve la pêche, je ne peux pas laisser mon corps à la dérive avant ce grand voyage qui m'attends dans un mois. Et je me rend compte qu'en tout cas, Paris n'est pas un endroit vivable, ni en août ni jamais. La perspective des 37°C de dimanche m'angoisse déjà, alors qu'il y a 10 jours, cela promettait une belle après-midi dans la fraîcheur du jardin, face à la mer...
Êtes-vous rentrés de vos vacances ? Qu'est-ce que ça vous fait ?
C'est simple, depuis deux jours, mon cou et mes épaules sont crispés, coincés, en révolte. Tous les bienfaits des vacances se sont envolés. J'ai mal partout, beaucoup trop chaud, mes jambes me tiraillent horriblement et se plaignent lorsqu'il faut marcher des heures ou monter les 6 étages qui distancient la rue de mon lit. J'ai des yeux tellement agressés par la pollution de l'air qu'ils ne supportent même plus les lentilles. Les gens ne sont pas aimables parce qu'ils aimeraient passer leur mois d'août ailleurs, certains sont même franchement odieux. Une lourdeur plane partout, et j'ai bien envie de fuir au plus vite cette ville inamicale. On s'y sent apathique et misérable. Quelle plaie !
Mon corps en révolte m'inquiète car il ne suit pas : depuis deux jours, en effet, je fais beaucoup de courses pour mon voyage, je préfère faire ça de façon condensée plutôt qu'étalé sur des semaines, mais je m'en mord les doigts. La migraine ne me lâche plus et les risques de mauvaise humeur s'abattent bien plus généreusement qu'à l'ordinaire. Il faut absolument que je retrouve la pêche, je ne peux pas laisser mon corps à la dérive avant ce grand voyage qui m'attends dans un mois. Et je me rend compte qu'en tout cas, Paris n'est pas un endroit vivable, ni en août ni jamais. La perspective des 37°C de dimanche m'angoisse déjà, alors qu'il y a 10 jours, cela promettait une belle après-midi dans la fraîcheur du jardin, face à la mer...
Êtes-vous rentrés de vos vacances ? Qu'est-ce que ça vous fait ?
Mince alors, je n'avais pas mis tes nouvelles douleurs dans le cou et le dos sur le compte de notre retour à Paris, tout simplement car je n'avais pas fait le rapport. Vite, il faut que je rentre pour remettre tout ça en ordre ! Signé : Le Prince
RépondreSupprimer;-)
Supprimeroh ben mince ... douche fraîche à volonté !
RépondreSupprimercourage ;) bises
la solution à beaucoup de choses! bises!
Supprimer4 semaines que je suis rentrée ... déjà. Heureusement , pour ma part, c'est calme au boulot et Bordeaux est déserté. Donc , je poursuis doucement avec le rythme indolent adopté au mois de Juillet..
RépondreSupprimerBon courage ;)
Merci Isa! profite bien de BOrdeaux sans trop de monde, c'est vrai que Paris se savoure lorsqu'il est désert...
SupprimerCoucou !
RépondreSupprimerLe fait est que la chaleur, qui devient rarement autre chose que de la lourdeur dans les terres, change l'ambiance de notre capitale rapidement.
Moi, je ne suis pas partis en vacances, je ne partirai pas. Mais au moins, j'ai une chose pour moi : le mois d'aout me permet d'être serein au volant. ;-) (Moi, mois, moi, mois, mwaaa !)
Mais c'est vrai que vivre sur Paris est un art délicat auquel je ne me prêterai pas !
Et comme toi, j'angoisse à l'annonce de cette superbe pointe de température... :-/
Courage !
j'espère que tu as survécu à la pointe de chaleur, surtout si tu étais derrière ton volant!!! Finalement ce n'était pas si terrible, on a fui dans un jardin du bois de boulogne et c'était parfait, à l'ombre dans l'herbe!!courage à toi aussi, veinard qui ne vit pas à Paris!
SupprimerBon courage ! Je comprends que le mois d'Août à Paris c'est pas easy.
RépondreSupprimerEn même temps, je n'ai jamais essayé..
Cette année, je fais des vacances à rallonge en plus ! Retour le 10 Septembre ! J'ai honte !
Je ne te le souhaite pas ;-)
SupprimerN'aies pas honte, profite!!!
Maintenant que les courses sont faites, tu peux prendre le temps chez toi. Une douche parfumée, un petit déjeuner qui traîne, lire les volets entrebaillés, te promener à la fraîche, t'étirer sur de la musique indienne, savourer un thé à la menthe, faire un tour à la piscine...
RépondreSupprimerTu as bien raison! malheureusement les démarches ne sont pas finies, mais j'avance doucement en essayant de ne pas m'empoisonner au quotidien...
SupprimerJe suis rentrée de vacances hier et je suis déjà dans le même état que toi... Paris et sa banlieue sont de plus en plus un calvaire à mon goût. Le ciel étoilé de la Bretagne et les pins du Cap Ferret me manquent...
RépondreSupprimerJe suis d'accord avec toi!! Ah oui, la province, la mer...courage Emi!!
SupprimerJe suis rentrée de vacances hier et je suis déjà dans le même état que toi... Paris et sa banlieue sont de plus en plus un calvaire à mon goût. Le ciel étoilé de la Bretagne et les pins du Cap Ferret me manquent...
RépondreSupprimerBon courage Blanche!
RépondreSupprimerA Bristol il pleut, ce n'est pas tellement mieux...
:-( la grisaille de Bristol laissera bientôt place dans ta vie au soleil et la chaleur toulousaine!! un vrai bonheur!!
SupprimerMe voilà quand même pour te dire que je partage tes difficultés... Courage !! Y a rien à dire d'autre malheureusement...
RépondreSupprimerNon en effet... courage à toi, accroche toi aux belles choses qui t'entourent et te font plaisir!!
SupprimerCourage ma Blanche... Paris m'attire, mais je suis bien consciente que je ne pourrais jamais y vivre ! Tu vas parvenir à te relaxer avant ton voyage, prends le temps de te poser, même cinq minutes peuvent être réparatrices !
RépondreSupprimerMerci ma chère! Paris est une ville magnifique, mais on ne l'apprécie pas à sa juste valeur lorsqu'on y vit et travaille je pense... reste là où tu es ;-)
Supprimerce n'est pas la tête pour moi mais le ventre qui se manifeste...et pourtant point de pollution parisienne.
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